« Il ne faut pas réveiller le chat qui dort… » : dans l’hôtel Aristide, hôtel pour félins urbains, la célèbre expression est vérifiée. Parisiens, vous qui partez en vacances et ne savez pas à qui confier votre petit matou, cet établissement est fait pour vous. Chouchoutés, vos chats vont en redemander !
Un concept insolite !
Le point de départ du projet ? Aristide, le chat et Gauthier son propriétaire. Un été, Gauthier veut partir en vacances mais n’arrive pas à faire garder Aristide (qui n’avait pas aimé la pension en banlieue, ni les visites d’une demi-heure payantes l’année précédente…). C’est alors qu’ils ont l’idée loufoque, mais totalement géniale, d’imaginer le premier hôtel pour les félins des villes. Avec l’aide d’un architecte d’intérieur, de vétérinaires, de nombreux amoureux des chats, l’hôtel ouvre ses portes en mars 2014 dans le 9ème arrondissement pour le plus grand bonheur des chats parisiens ! Attention, Aristide, chef des travaux a été exigeant : pas de cage ni de grillage, croquettes gastronomiques, forfait papouilles illimitées, décor design et catsitters très qualifiés. Pas de panique si vous êtes fusionnel avec Minette, elle pourra vous envoyer des MMS pour donner de ses nouvelles. 🙂
Des chambres où il fait bon ronronner…
Vos petits tigres seront logés dans de belles chambres claires et spacieuses disposant de cachettes, postes d’observation, coussins, escaliers… Le paradis! Si vous êtes un passionné de chats et que vous en avez 3 ou 4, pas de soucis vous pourrez louer une suite. Bien évidemment les chambres sont climatisées l’été et chauffées l’hiver. Pour se dégourdir les pattes ils pourront même s’amuser dans la « Playroom » où ils réaliseront leurs rêves les plus fous : jouer avec un laser, se prendre pour rambo dans un tunnel, se prélasser dans un hamac… Côté tarif, c’est à partir de 26 euros la journée par chat. Pour les maîtres qui voyagent souvent il est possible de prendre un pass valable un an ( 240 euros pour le pass 10 jours par exemple). Un buget certes, mais quand on aime son chat, on ne compte pas !
